Ce jour où yeux dans les yeux
Partager d'innonbrables baisers avec délicatesse
Sentir nos coeurs s'enflammer de mille feux
Laisser aller nos émotions sans complexe.
MES PENSEES
Mes pensées vont vers toi,
A chaque instant, tu es dans ma tête,
Dans mon coeur et en moi
Une sensation de bonheur c'est un fait.
Elles sont notre coeur,
Et nous apporte le bonheur,
Elles nous montre le chemin,
Du bon qui fait du bien...
Les amies sont là pour nous,
Mais on est là aussi pour tout,
Elles prennent soin de notre coeur,
Et nous on veut leur offrir du bonheur...
Amies de toujours,
On les aiment avec amour,
Elles sont là tout le temps,
Depuis que l'on est un petit enfant...
Et on est là à les aimées,
C'est réciproque cet amour,
Qui durera pour toujours...
Elles sont notre équilibre du coeur,
Et notre plus grand bonheur,
Puisqu'elles nous connaissent bien,
Et qu'on se tient toujours la main...
Elles sont notre coeur,
Et nous apporte le bonheur,
Elles nous montre le chemin,
Du bon qui fait du bien...
Les amies sont là pour nous,
Mais on est là aussi pour tout,
Elles prennent soin de notre coeur,
Et nous on veut leur offrir du bonheur...
Amies de toujours,
On les aiment avec amour,
Elles sont là tout le temps,
Depuis que l'on est un petit enfant
Et on est là à les aimées,
C'est réciproque cet amour,
Qui durera pour toujours...
Elles sont notre équilibre du coeur,
Et notre plus grand bonheur,
Puisqu'elles nous connaissent bien,
Et qu'on se tient toujours la main...
Et si nous dessinions un rêve?
Il faudrait qu'il soit beau, bien entendu
Il faudrait qu'il soit doux, cela va de soi
Il faudrait qu'il donne envie, c'est essentiel
Il faudrait que ses couleurs soient merveilleuses, c'est évident
Il faudrait aussi qu'au bout du rêve se dessine la réalité.
Et si, cette réalité, nous la faisions belle, douce,
Pleine d'envie et remplie de couleurs merveilleuses?
Si nous la copions sur nos rêves?
Un oiseau bleu
vient se pencher, bienheureux
doucement sur ma feuille
sans que je lui en veuille.
C'est dans les faux plis
que les mots se bousculent
trébuchent parfois
dans un pitoyable concerto,
la fatigue m'envahit,
lourde, encombrante
pesante comme un fardeau.
Je ramasse quelques miettes
de temps perdu
et je m'enivre sans pudeur
du mutisme de mon coeur
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